Nanoug publie aujourd’hui le deuxième volet de sa « chasse » aux graphismes. Après les lignes droites… La chasse aux lignes courbes. le graphisme par le vécu, les images mentales, vous connaissez ?

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Le principe : faciliter la vie des enseignants de moyenne et grande section en proposant du concret, du précis, du créatif, de l’utile, le tout en parfait accord avec les programmes de 2015. En voici une présentation “différente”.

Cliquez ici pour découvrir les “Nanoug'graphismes :  la chasse aux lignes courbes”.

Je vous ai présenté en mars dernier le principe de la « chasse aux lignes » selon Nanoug.

Comment faire pour vous présenter sa suite logique sans tomber dans la répétition ?

Peut-être en me focalisant sur un aspect bien précis dudit ouvrage.

Le fait pour un enseignant de voir son travail à la fois facilité et enrichi.

C’est ce qui m’a toujours étonné avec Nanoug, et c’est la raison pour laquelle j’aime tant parler de son travail.

Travail facilité

Bon, les programmes, les instructions officielles, c’est bien, mais encore faut-il en tirer la substantifique moelle et s’en servir comme levier pour augmenter son efficacité pédagogique.

Et c’est là que parfois, on n’est pas certain, justement d’être efficace. Il faut dire qu’il sont touffus, ces programmes.

Relisons ces extraits :

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« S’exercer au graphisme décoratif

Tout au long du cycle, les enfants rencontrent des graphismes décoratifs issus de traditions culturelles et d’époques variées.

Ils constituent des répertoires d’images, de motifs divers où ils puisent pour apprendre à reproduire, assembler, organiser, enchaîner à des fins créatives, mais aussi transformer et inventer dans des compositions.

L’activité graphique conduite par l’enseignant entraîne à l’exécution de tracés volontaires, à une observation fine et à la discrimination des formes, développe la coordination entre l’oeil et la main ainsi qu’une habileté gestuelle diversifiée et adaptée.

Ces acquisitions faciliteront la maîtrise des tracés de l’écriture. »

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Quelques petits paragraphes d’une forte densité et d’une grande exigence. Mais par quel bout l’attraper, ce graphisme décoratif ?

C’est là que l’expérience et le talent interviennent. Pour certains, ce sera fastoche. Pour d’autres, ce sera transpirant, voire laborieux. Et c’est là qu’il faut faire attention, parce qu’à trop vouloir bien faire, on en arrive parfois à des séances figées, avec un goût d’inachevé.

Le grand talent de Nanoug, c’est d’arriver à nous proposer des activités non seulement construites, mais complètes, et faciles à mettre en oeuvre. Vraiment, je l’écris et je le pense, c’est ce que je constate à chaque fois, je n’ai jamais vu ça dans les ouvrages des grands éditeurs.

Travail enrichi

Non seulement on « colle » aux programmes, mais on va plus loin.

Parce qu’une organisation nous est proposée, comme en l’occurrence le « panneau-répertoire », à installer dans un coin de la classe, et qui facilite la catégorisation des images ou des motifs. « Suivez le mode d’emploi ! » Et ça marche…

Parce que le passage de l’observation du réel au graphisme sur feuille est facilité par une progression rigoureuse, qui passe par exemple par la confection par les élèves d’ « objets graphiques ». Faire un objet à partir d’un dessin. Un va-et-vient permanent.

Parce que chez Nanoug, on ne s’ennuie JAMAIS. Et que la créativité a TOUJOURS sa place, transformant une activité technique en activité d’expression.

Parce que les résultats sont visibles. Les productions des élèves sont belles, colorées. Tout le monde en est fier : les enfants et l’enseignant.

Voilà. Fin de cette présentation un peu particulière, mais je tenais à insister sur ces deux points, parce qu’ils font toutes la différence.

Ce n’est pas pour rien que notre Nanoug a ses « fans » !

Pour en revenir à cette chasse aux lignes courbes, je vous encourage à relire l’article que j’avais consacré à la chasse aux lignes droites : c’est la suite logique.

Ainsi que la présentation qui en est faite ici.

 

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